Par
ces mots doux ou âpres, puissants comme un liqueur, qui m'embrasena
dose.
Je retiens ce momeont l'absence m'emporte plus que la matière
en une transe hypnotique. Peu à peu, tu m'apparais, ombre incertaine
habitée de musiques silencieuses, promesse d'un voyage incestueux
aux rives de nous-mêmes. Jme qui s'écoule dans mes veines.e
fermet en un feu de couleurs et musiques, c'est ts unFébrile,
j'ouvre mon mail en attendant ton verbe comme attend s les yeux pour
mieux te regarder te promener en moi comme en ta maison. Encore je
tends e f noce chemin à l'envers, mes pas fouleront des
graviers de pouzzolane, les braon ânt précis ou mon doigt
frappe le clavier d'un hypothétie dois les mots qui me mènent
en mettra en mles bras en t'appelant "encore! Injecte encore unouvement.
Corps tendu vers nus, offerts aux landes de ronces, je couperai
à travers champs durant cents nuits bleutées et cent
douctoieur au rêve de Minuit déjà et je
meque "tout recevoir cap/Pomme/M)" corps imaginair srines ; attendre
immobile, l'instant où tout mon corps ses matins de nacre pour
m'agenouiller un jouens transus-mêmes. Et même si je sais
qu'il me faudra sans cesse refaire parent, coeur de cristal balayé
de brises mar sur les sables de la mer.
Mais la mer se retire, il ne reste sur la plage que la trace de tes
yeux rivés à l'hes ouvertes, infiltres-toi. Pour que
je ne sois plus moi, pour que je devienne toi.
J'entends les cloches qui carorizon. Fragile ligne de fuite
vers un autre nullui me parle d'une réalité inaccessible.
Le monde suit pour te rejoindree part, où je ne serai
pas, d'où je ne pourrai t'appeler. Je vetillonnent, les
choeurs d'hommes qui font e dérobe à mes sens.ue j'existe
encore dis-moi, quand je pars dans la ntrembler les ux sentir encore
ton âme vibrer, au-delà des murs de verre, au-delà
des murs de pierre. Enfonce les porvitraux de notre temple cathodique,
mais le vin q
Qui suis-je ? est-ce qui coule dans ma gorge brûle lentement
les contours imprécis et doux
de ton visage.
Visage q, que je ne connais pas...
remake,
edmp 99
Fébrile,
en attendant
attend
ce moment frappe le
hypothétique
feu couleurs et
âme .
Minuit transparent de brises marines ;
attendre mon mouvement tendu vers un corps
m'emporte plus en une ombre,
voyage aux mêmes.
regarder en ta maison Encore en t'appelant "encore!
encore une fois en
douceur de nous-mêmes.
(même si je sais
qu'il me cesse à
l'envers),
les bras nus aux landes, je couperai à travers champs
pour les sables de la mer.
Mais la mer se retire, ne reste que l'horizon
Fragile ligne de fuite
vers où je serai , d'où je ne
pourrai t'appeler. Je veux sentir encore
les
portes ouvertes.
que je ne sois plus , que je devienne toi.
J'entends les cloches , les
hommes font trembler le vin
dans les contours imprécis et doux
de ton
Visage qui me parle d'une .
Le
monde
existe encore
dans la nuit pour
toi
remake,
pg 99
Fiévreux,
j'ouvre mon mail très tout en attendant votre verbe comme ordures
attend sa quantité. Je nomme ce moment précis ou du mon
doigt exécute vers le haut du clavier d'hypothétique "
tous pour recevoir cap/Pomme / M) "
par ces mots doucement ou rugueux, puissant comme une boisson alcoolique,
qui m'a placé a mis à feu dans des couleurs d'un feu et
le musics, il est votre coeur qui devient épuisé dans
des mes veines. Le minuit déjà et moi sentent les brises
marines transparentes et balayées en cristal de coeur ; pour
attendre immobile, moment où tout mon corps doit se déplacer
mis. Le corps a tendu vers un corps imaginaire dont l'absence me porte
davantage que la matière dans un fright hypnotique. Peu par peu,
vous apparaissez avec moi, la nuance douteuse habitée du musics
silencieux, promesse des vers d'un incestueux de voyage des banques
de nous-mêmes. Je ferme les yeux pour meilleur vous...
remake,
yp 99
Attendre
en attendant que frappe...
ce moment fébrile
Suspendre
l'hypothétique couleur
feu, âmes.
brises
Minuit transparent .
ombres marines
attendre..
corps tendu vers un voyage, même mouvement qui m'emporte
en ta
maison.
Regarder encore en t'appelant en douceur...
"encore!"
Encore une fois même
Fragile
si les bras couperai, nu aux landes, je
à travers les champs de sable
la mer.
Mais l'horizon ne reste que ligne de fuite
se retire,
je ne pourrai la mer où je serai,
t'appeler veux
encore sentir que je ne sois plus il ,
que je devienne vers toi
dans les contours imprécis d'où
les cloches et les hommes et le vin doux
qui font trembler ton visage de
qui me parle d'un monde encore
la nuit dans toi pour.
J'entends
remake,
tl 99
Attendre
en fusion
de douleurs d'âmes.
Minuit.. à tendre..
mou, tendu vers une porte
..plus une ombre.
Voyage blême.
Regarder
encore en t'appelant "encore!"
Encore une douceur...
bras aux landes, je couperai à travers
les sables de la mer et le reste.
J'entends
les cloches des hommes
qui font trembler les jours de ton age,
d'un monde encore dans la nuit.
Et
seule ma langue glacée
sur le nacre de tes dents
me rends definitivement encore
remake,
ld 151199
Fébrile,
en attendant...
Attendre
ce moment que frappe l'hypothétique feu de couleurs et d'âmes.
Minuit.. transparent de brises marines ; attendre.. mouvement tendu
vers un
corps qui m'emporte plus qu'en une ombre.
Voyage, même.
Regarder en ta maison encore en t'appelant "encore!"
Encore une fois en douceur...
Même si, les bras nus, aux landes, je couperai à travers
champs pour les sables de la mer.
Mais la mer se retire, il ne reste que l'horizon.
Fragile ligne de fuite vers où je serai, d'où je ne pourrai
t'appeler.
Je veux sentir encore que je ne sois plus, que je devienne toi.
J'entends les cloches et les hommes qui font trembler le vin dans les
contours imprécis et doux de ton visage qui me parle d'un mondeencore
dans la nuit pour toi.
remake,
ld 99
Attendre
ce moment
en attendant que frappe...
Suspendre
l'hypothétique feu
fébrile couleur
Minuit brises âmes.
attendre
transparent ...
ombres
corps tendu vers marines
un voyage même
Regarder mouvement qui m'emporte encore
en t'appelant en ta maison.
en douceur...
Fragile même
"encore!"
se retire
si
nu les bras couperai,
Encore une fois aux landes,
à travers les champs je ligne de fuite
mer de sable.
Mais ne reste que l'horizon où t'appeler veux
je ne pourrai
la mer je serai,
pour encore sentir
la nuit dans toi
que je ne sois plus
que je devienne imprécis
dans les contours et le vin
J'entends
vers
les cloches
les hommes d'où
qui font trembler un monde
ton
doux visage qui
il me parle d'encore
et de toi
remake,
tl 99
|